MIGRANTI ISLAMICI GRIGLIANO RAGAZZA FRANCESE: “E’ IL NOSTRO MONTONE”

E’ morta così Sophie Lionnet, una ventenne francese

Il 20 settembre 2017, allertati dai vicini infastiditi da un odore “orribile”, i vigili del fuoco erano intervenuti presso i datori di lavoro di Sophie Lionnet. L’avevano ‘grigliata come un montone’.

Durante il processo a Londra, i vigili del fuoco hanno riferito mercoledì di aver scoperto il corpo carbonizzato di Sophie Lionnet, una ragazza alla pari francese, nel giardino dei suoi datori di lavoro.

Sabrina Kouider, 35 anni, e Ouissem Medouni, 40 anni, algerini con cittadinanza francese per ius soli, sono da questo lunedì sotto processo presso la corte criminale dell’Old Bailey, a Londra. Si dichiarano non colpevoli per l’omicidio della loro au pair di 21 anni.

Thomas Hunt, vigile del fuoco, ha dichiarato in udienza che quando è arrivato sulla scena ha visto un barbecue proprio accanto alle porte del patio e un principio di incendio.

Nel tentativo di estinguere il fuoco, il pompiere riconosce una mano, un naso e si rende conto che si tratta di un corpo. Nota anche vestiti e gioielli. “Ho chiesto all’uomo: perché stai bruciando un corpo? Ha risposto: è un montone”, ha testimoniato il vigile del fuoco che ha trovato Medouni “molto calmo “e” tranquillo”.

Jeune fille au pair française tuée et brûlée : le suspect prétendait griller "un mouton"
A LA UNEPOLITIQUEJUSTICE
Publié le 21/03/2018 à 16h30 par SudOuest.fr avec AFP.S'ABONNERCOMMENTAIRES SUSPENDUSAppelés par des voisins, les pompiers étaient intervenus au domicile du couple de Français. C'est là qu'ils ont découvert le corps carbonisé de Sophie Lionnet.
DANIEL LEAL-OLIVAS AFP

Le 20 septembre 2017, alertés par les voisins incommodés par une "horrible" odeur, les pompiers étaient intervenus chez les employeurs de Sophie Lionnet. Ils racontent.



Lors du procès à Londres, des pompiers ont raconté mercredi comment ils ont découvert le corps carbonisé de la jeune au pair française Sophie Lionnet dans le jardin de ses employeurs et meurtriers présumés.

Les Français Sabrina Kouider, 35 ans, et Ouissem Medouni, 40 ans, sont jugés depuis lundi à la cour criminelle de l’Old Bailey. Ils plaident non coupables du meurtre de leur jeune fille au pair âgée de 21 ans.


Le 20 septembre 2017, alertés par les voisins qui voyaient d’importantes fumées se dégager du jardin des accusés et étaient incommodés par une "horrible" odeur, les pompiers étaient intervenus au domicile du couple.
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"C’est un mouton"

Thomas Hunt, pompier, a décrit à l’audience qu’en arrivant dans les lieux, il a vu un barbecue où grillait du poulet ainsi qu’un feu de jardin, juste à côté des portes du patio, risquant d’endommager la propriété.
"J’ai trouvé que c’était un endroit très étrange pour un feu parti spontanément. J’ai demandé à l’occupant : pourquoi avez vous fait ça ? Il a juste haussé les épaules"

En tentant d’éteindre le feu, le pompier reconnaît alors une main, un nez et se rend compte qu’il s’agit d’un corps. Il remarque aussi des vêtements et des bijoux. "J’ai demandé à l’occupant : pourquoi brûlez vous un corps ? Il m’a répondu : c’est un mouton", raconte le pompier qui a trouvé Medouni "très calme" et "résigné".
"Ahuri" et "renfermé'

Ouissem Medouni a répété aux pompiers qu’il s’agissait d’un "mouton", affirmant même l’avoir acheté dans une ferme pour 150 livres (environ 170 euros). Il était "ahuri" et "renfermé", selon le témoignage d’un autre pompier, James Grant. "Nous avons continué à l’interroger pour qu’il nous dise la vérité", a témoigné à l’audience un autre sapeur pompier, David Rose, mais Medouni a "détourné le regard".

Sophie Lionnet a vécu un véritable calvaire avant sa mort, selon l’accusation. Victime de "violences" pendant des mois, elle dormait dans la chambre des deux enfants qu’elle gardait, sur un lit superposé, et vivait sous l’emprise de ses employeurs, qui la nourrissaient peu et la battaient, selon des voisins.